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LYCEE RAVEL  année scolaire 2016-2017 * classe de Seconde 4

HISTOIRE - SECONDE - L'Invention de la citoyenneté....  
CHAPITRE II

« LE PRIVILEGE
DE LIBERTE »
(F. Jacques)

  L'Invention de la citoyenneté dans
l’Antiquité :
ATHENES ET ROME 
Lundi 3 octobre
 [17 h - 17 h 55] ou
Jeudi 6 octobre
[14 h - 14 h 55]

Semaine 40

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PAGES PRECEDENTE ET SUIVANTE

TRAVAUX DIRIGES - TD 5H / Etude de deux documents
Deux vases  ; pages 46 et 47 
Vocabulaire : être citoyen, dans l'Antiquité comme aujourd'hui, c'est être membre d'une Cité, donc être soumis aux Lois de cette cité (et par conséquent être un individu responsable, puisque la Loi est une règle faite par le citoyen ou ses représentants).
Consigne : en quoi ces document nous montrent-ils correctement les droits et les devoirs des citoyens (dans l'Antiquité grecque)  ? 
Lundi 3 octobre
 [9 h 10 - 10 h 05]

D'après les cartes du Manuel :  Qu'est-ce que la Grèce au Vème Siècle ?
D'après la photographie du  Manuel  : Qu'est-ce qu'une cité ?

 Vocabulaire : privilège, culture, civilisation

 Cliquez sur
 l'icône de tête de chapitre (carte de l'Attique) pour voir un résumé de la prise de notes
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 INTRODUCTION
Définitions préalables : un privilège (une dérogation à la Loi commune), une élite (un petit nombre, une minorité favorisée ou supérieure), un modèle (un exemple). 
Reformulation : la Citoyenneté, c’est-à-dire la Liberté complète, n’est jamais dans l’Antiquité qu’une exception à la règle, les Athéniens en ont par ailleurs une conception fermée (Droit du Sang) alors que Rome est plus généreuse… 
Problématisation : En quoi Athènes et Rome sont-ils les berceaux présumés de nos régimes démocratiques modernes ? (égalité entre citoyens athéniens, mais démocratie directe ; extension du droit de cité dans tout l'empire romain, mais dictature de fait exercée par l'empereur).
Repères chronologiques :
Athènes aux Vème et IVème Siècles av. JC, Rome du Ier au IIIème Siècle ap. JC.

1 – La cité : une manière de vivre propre aux Grecs et aux Romain?
A – Le monde Grec, berceau de la cité (Les Hellènes et l’Hellade)   
Les Grecs ou Hellènes : qui sont-ils ?
La culture  helléique
Une civilisation complexe
Un monde de cités dans et autour de la Méditerranée (situation au Vème siècle)
Jeudi 6 octobre
 [14 h 55 - 15 h 50]		 B – La Polis (cité en Grec) :  une organisation originale 
Vendredi 7 octobre
 [11 h 15 - 12 h 10]
Pas de cours le 17 octobre
(devoir de Géographie)
ni le 4 novembre
(cours de Géographie)
et intervention de la Co-Psy  
sur l'Orientation le 3/11
 C – La Civitas (cité en Latin) :  reflet de "l'Urbs" dans les provinces et perpétuation du modèle hellénique
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VACANCES DU 19 OCTOBRE AU 2 NOVEMBRE

Lundi 14 novembre
[9 h 10 - 10 h 05]

Cliquez sur l'image en tête de chapitre
pour un rappel de vocabulaire

 2. Le Siècle de Périclès : Les Athéniens au Vème Siècle ( une cité impérialiste)
Reformulation et étude de deux documents
Documents 1 et 3 pp 54-55
Rappels sur la méthode de l'Introduction :
Nature, Auteur (qualité d ela source) et contexte.
Rédaction d'une introduction.
Lundi 14 novembre
 [17 h - 17 h 55] ou
Jeudi 17 novembre
[14 h - 14 h 55]
Semaine 46
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 TRAVAUX DIRIGES - TD 6H / Etude de deux documents
Périclès et la démocratie athénienne [suite]
Consigne : en quoi, d'après ces document, Périclès "incarne-t-il" la Démocratie athénienne et comment définir celle-ci ? 
Rappels sur la méthode du commentaire (rédaction du développement de l'étude) :
Citer, reformuler, expliquer et éclairer.
Rédaction d'un développement.
Jeudi 17 novembre
[14 h 55 - 15 h 50]

Peu de citoyens : tableau des effectifs page 63 (doc 5) ; textes sur l'acquisition de la citoyenneté
pp 62-63 (doc 1 et doc 4)		 A - Une démocratie élitiste : peu de citoyens,  une égalité devant la loi très originale (isonomie)
Dracon, Solon, Clisthène. Les fondements de l'égalité entre citoyens. Ses limites.
un lien vers des ressources complémentaires en ligne
Vendredi 18 novembre
 [11 h 15 - 12 h 10]

Vocabulaire : Liturgie
 B - Une démocratie directe : des magistrats mandatés par l'eccesia (assemblée des citoyens) et souvent tirés au sort
Distribution d'une fiche récapitulative sur le rôle du citoyen et de l'ecclesia et la fabrication de la Loi, privilège exclusif des citoyens eux mêmes et non de magistrats qu'ils auraient élus.
Lundi 28 novembre
[9 h 10 - 10 h 05]


Distribution d'une fiche récapitulative sur le Péricèles :
sa biographie et sa postérité

Manuel pages 58-59 : le Parthénon, célèbre parmi les monuments de l'Acropole. Une reconstruction fastueuse voulue par Périclès et financée par le trésor de la Ligue de Délos, confisqué au profit des Athéniens. 		C - "C'était le gouvernement d'un seul homme" : une cité soumise à l'influence d'un orateur hors du commun, créateur d'un véritable empire égéen
Périclès n'est que l'un des dix stratèges élus pour commander l'armée. Mais il exerce la charge 25 ans durant. Surtout, son art du discours le propulse de fait à la direction de la cité. Il est en effet capable de retourner l'opinion et d'obtenir que l'ecclesia soutienne toutes ses propositions. Issu d'une grande famille, il est un fervent démocrate et insitue une indemnité (misthos) permettant aux citoyens modestes d'exercer les charges publiques. Convaincu de la supériorité de la Démocratie, il souhaite étendre par les armes ce modèle et transforme l'alliance des cités égéennes fondée pour se défendre contre les Perses (le Ligue de Délos) en un empire : les Athéniens installent partout des garnisons militaires (clérouquies) pour obliger leurs alliés à établir des régimes démocratiques. Le petit peuple d'Athènes profite matériellement de la guerre, qui représente une promotion sociale pour  les clérouques (citoyens athéniens installés dans les cités occupées pour les surveiller)  et les ennemis de la Démocratie reprochent à Périclès  son bellicisme. Il est admiré plutôt que compris et on admet difficilement son attachement pour Aspasie, sa seconde femme, une étrangère venue d'Ionie, qui enseigne la rhéthorique et scandalise par sa liberté de moeurs...
Jeudi 1er décembre
[14 h 55 - 15 h 50]

Extrait d'une comédie.
Aristophane, les Acharniens
"Un paysan à l'assemblée"
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arrêt des notes
du premier trimestre
le 23 novembre
 3. La fragilité des tendances démocratiques dans les cités antiques : l'exemple des Athéniens au IVème Siècle et de l'évolution du principat à Rome
A - Le déclin des Athéniens et la crise de la démocratie en Grèce après la mort de Périclès
Une stasis : le conflit latent entre, d'une part les ruraux (et les aristocrates)  et, d'autre part, es représentants de la plèbe urbaine empêche la concore nécessaire au bon fonctionnement de la Démocratie ; le parti démocrate est désemparé après la disparition de Périclès et ses chefs de file sont séduisants mais incompétents (comme Alcibiade) ou dépourvus de prestige social (Cléon) ; les Athéniens ont été  vaincus par les Lacédémoniens (Sparte)  et la cité, très affaiblie, est  peu à peu soumise à l'influence du royaume de Macédoine, comme toutes les cités grecques...
Lundi 28 novembre
 [17 h - 17 h 55] ou
Jeudi 1er décembre 
[14 h - 14 h 55]

 Semaine 48

Dion Cassius et la critique de la politique fiscale de l'empereur :
texte 2 page 86		 TRAVAUX DIRIGES - TD 8H / Etude de document
L'édit de Caracalla - texte 4 page 87
Une constitution (nom donné aux comunications de l'empereur, qui détient à partir du IIème siècle le monopole législatif). Un empereur d'origine libyene et syrienne, car l'empire romain est universel et  a de la citoyenneté une conception "ouverte". Né à Lyon, il doit son surnom aux soldats de son père qui le voyait, enfant, toujours affublé d'un manteau gaulois à capuche : c'est l'armée qui chosit et investit les empereurs, et c'est la victoire et la défaite qui marquent la faveur ou la défaveur des Dieux.
L'intégration des "pérégrins" (étrangers au Droit romain, assimilables aux métèques dans la cité athénienne et nom aux Barbares, étrangers véritables) : son prétexte officiel, les possibles motivations de Caracalla, ses conséquences.
Vendredi 12 décembre  
[11 h 15 - 12 h 10]
Cartes pp 78-79
Vocabulaire : une cité, un état, un état territorial

Peu à peu, le princeps (premier des citoyens ou "prince") est vu comme un demi-dieu (à sa mort, le Sénat vote son apothéose et il "monte au ciel" pour devenir un Dieu... à moins qu'on ne décide de "condamner sa mémoire" ). De son vivant même on rend un culte à son Génie personnel.  Progressivement, l'empereur prend l'ascendant sur le Sénat et le Peuple n'exerce plus aucun rôle dans le gouvernement de l'empire. Mais l'empereur n'est pas un roi ni un monarque... car il est censé être choisi parmi les meilleurs des citoyens. En fait , le Sénat - plus tard, l'armée - décident de son élection.
Les citoyens exercent leurs droits de nommer les magistrats dans le cadre de la petite cité à laquelle ils ne cessent d'appartenir...  même si par ailleurs ils ont devenus citoyens romains.
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 B - Les conquêtes des Romains : un état territorial soumis à un imperator tout puissant

Rome est au départ une cité (République). Elle est gouvernée à ce titre par le Peuple mais les citoyens y disposent de droits inégaux : les Patriciens (noblesse) s'opposent à la Plèbe et, d'autre part, le Peuple gouverne avec le Sénat (signification du sigle SPQR) une assemblée de sages appelés "Quirites" (le nom désigne aussi bien les Romains dans leur ensemble) qui détiennent l'essentiel du pouvoir réel. Les principales magistratures (les deux consuls dirigeant les armées, le censeur nommé pour recenser les ctoyens et en établir la liste comme le niveau de taxation) sont  détenues par les sénateurs ; lesquels doivent être riches et posséder des terres en Italie. Si le Sénat s'ouvre peu à peu aux plebéiens aisés (avant le début de l'ère impériale) et aux provinciaux (sous Claude, notamment, qui accueille des Gaulois en son sein) c'est à condition qu'ils achètent des biens fonciers dans la péninsule. Le Peuple n'obtient que le droit d'élire des tribuns, inviolables et nommés  pour le défendre et parler en son nom...

Après l'assassinat de Jules César, qui a conquis la Gaule et écarté son rival Pompée, et souhaitait transformer les institutions de l'état (devenu trop vaste pour être dirigé comme une petite cité classique) son fils adoptif et neveu , Octave, instaure, après une longue guerre civile,  le principat. Désormais, les principales magistratures sont réunies entre les mains d'un seul, à la fois" imperator caesar" (général en chef et successeur de Jules César) et "Auguste" (nom pris par Octave pendant son règne et porté ensuite par tous les empereurs) mais également consul (chef de l'Etat et des armées) et proconsul ( gouverneur des provinces extérieures) détenant en outre les pouvoirs du censeur, agissant comme chef de la réligion romaine ("garnd pontife") et dit par ailleurs "père de la patrie".  L'empereur est aussi salué d'après les principales victoires militaires de son règne et joue le rôle de tribun du Peuple (l'armée lui jure fidélité chaque année et l'on compte à cette occasion le nombre de ses "puissances triibuniciennes", en clair ses années de règne).
Dès le règne d'Auguste, la principale tâche des empereurs est la défense des frontières de l'empire plutôt que la conquête de nouvelles provinces.

Les Romains de la capitale obtenant des distributions de vivres gratuites organisées par l'Etat  et profitant des jeux du Cirque et divertissements de toutes sortes offerts par  l'empereur et les magistrats ils se désintérèssent de la vie politique et se contentent de vivre bien (d'où la formule "panem et circenses", du pain et des jeux).
Lundi 5 décembre
 [8 h 15 - 10 h 05]
Semaine 49		 DEVOIR SURVEILLE n°3 - DS3HG
Voir les consignes sur G+
VACANCES DE FIN D'ANNEE DU 16 DECEMBRE AU 3 JANVIER

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P-L Vanderplancke / cahier de textes
SECONDE 4
Période : du 3 octobre au 5 décembre
Nombre d'heures : 14
Premières Terminales
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